/// Livres, livres, livres… ///
Article créé le 25 juillet 2017, mis à jour le 7 avril 2024
Retour au Chili le 15 novembre 2024
Organisons donc des ateliers! C’est facile
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Plusieurs nouveaux articles sont en cours de rédaction et seront bientôt publiés.
Nouveau site complémentaire en espagnol, pour découvrir de nouvelles expériences: www.lanitando.com
Partager ce que j’ai appris grâce à ma petite biblioth`eque est une de mes priorités. Beaucoup de mes articles s’appuient sur ces livres. Ils occupent de plus en plus de place dans mes valises quand je voyage, dans ma pièce et dans mes expériences. Cet article est un des plus anciens de ce site, il nécessitait donc une bonne mise à jour, ne serait-ce que pour refléter l’évolution de ma collection.
Je suis née et j’ai été élevée dans une maison où il y avait des livres jusque dans les toilettes. Il est un peu normal que mon intérêt pour les teintures naturelles démarrent grâce à un livre.
Un livre a tout déclenché
Tout a commencé grâce à un des livres de Dominique Cardon
Le premier livre sur ce thème m’est arrivé quand je vivais en pleine campagne près de La Ligua (centre du Chili). Les livres ont toujours été ma passion et ma mère m’a envoyé un livre de Dominique Cardon. Il y avait beaucoup de recettes que j’ai tenté d’essayer. De là, est née ma passion. Il a été assez maltraité car, il m’a suivi dans presque tous mes voyages…
Plus tard, elle m’a envoyé des livres de Michel Garcia et la bibliothèque s’est agrandie.
Enfin, au fur et à mesure de mes voyages, elle s’est complétée petit à petit.
Une amie de La Ligua m’a aussi prêté ce livre.
Et c’est ainsi que j’ai pu démarrer mes expériences à La Ligua avec les plantes sauvages que j’avais sous la main, un peu de coton et un peu de laine…
C’était les d´´ebuts…
Les livres ce sont des outils
Il pourrait sembler que je fais des folies pour alimenter ma bibliothèque. Mais, quand je prends le temps de lire, je découvre toujours des informations utiles, des idées nouvelles, des détails surprenants, enfin des merveilles insoupçonnées. Toutes sortes d’apports que je souhaite partager au plus vite.
Il y a un certain nombre de photocopies. En effet, au Chili dans les musées et les bibliothèques que je fréquente dès que je le peux, on propose de photocopier les livres que l’on ne peut pas trouver en librairie. Il y a aussi des livres anciens que j’ai trouvés au Marchés aux Puces. Je vous joins en galerie les photos d’une sélection de ma bibliothèque.
Ils me suivent partout
Ces livres sont aussi la source de mes nouveaux travaux, même pendant les voyages.
Des livres numériques
A cela, il faut rajouter des centaines de documents pdf, que je n’ai pas toujours eu le temps de lire et d’exploiter. Je viens juste de découvrir un site où l’on peut télécharger gratuitement de nombreuses éditions d’art. J’y ai trouvé une très grande quantité de livres techniques anciens de grand intérêt.
Le site de la BNF/Gallica est une source inépuisable d’informations. Je vous conseille d’aller fouiller un peu. Ce sont des documents anciens en noir et blanc et sans illustrations. Mais, ils donnent souvent plus d’explications que les derniers livres que j’ai ramené récemment d’Europe. Ils nous attirent avec de très belles photographies, des maquettes très lèchées, où les indications techniques et pratiques brillent par leur absence. En conclusion, on ne voit pas comment obtenir les résultats vu dans les illustrations.
Par exemple, on voit une photo avec des toiles dégradées de violet, à coté de brins de lavandes, les tons combinent bien. C’est de la photo artistique. Mais, la lavande ne teint pas en violet. Pour compléter le tout, les toiles ont été teintes avec du choux rouge ou des mûres… couleurs exemplaires de teinture petit teint. Quel gaspillage, teindre des toiles luxueuses de lin, de laine ou de soie avec des colorants qui ne résistent pas à la lumière!
Les vertues du choux rouge et des mûres sont mieux exploitées par notre tube digestif. Ils font d’excellents colorants alimentaires.
Malheureusement, la tendance est générale.
Et aussi des articles
Je collectionne aussi les articles, notamment de reconstitution archéologique, qui abondent sur le site www.academia.edu sur lequel vous pouvez trouver plusieurs présentations que j’avais préparées pour les congrès de teintures naturelles.
Variété de langues
Pourquoi se limiter au français? ou à l’espagnol? je comprends aussi d’autres langues. J’ai donc ramené de mes voyages des livres en allemand, suèdois, danois, norvègien, néerlandais, anglais, italien.
C’est curieux, il y a des domaines o«u l’on trouve plus de livres en allemand ou dans les langues nordiques. Certaines techniques se maintiennent encore vivantes en Scandinavie. D’un pays à l’autre, les points de vue varient. Donc, on peut voir le même sujet sous un autre angle. C’est très enrichissant.
Pourquoi tant de livres
Ils sont à la fois base et complément de ma pratique. La lecture est ma méthode de formation permanente. Au fur et à mesure de mes recherches, j’élargis mes centres d’intérêt. Il aussi approfondir ses connaissances sur les fibres, sur les plantes, sur le tissage. sur les couleurs ainsi que sur l’histoire de ces domaines.
Les tendances évoluent, il faut être à jour.
Rares sont ceux qui ne m’apportent rien. Dans le pire des cas, il m’indiquent ce qu’il faudra que j’évite quand j’écrirai mon livre.
Conclusion
J’attends avec impatience vos remarques, car sans doute avez-vous, vous aussi, des livres à me conseiller…
J’espère pouvoir bientôt vous proposer mon livre.
Je n’ai pas encore ajouté les nouveaux livres qui m’ont coûté une fortune en supplément de bagages.